FAQ Belgique

Tous les étudiants en Belgique se destinant à devenir vétérinaires doivent passer par l’étape du concours de fin de 1ère année. Par conséquent, un étudiant titulaire d’un bachelier de transition en sciences biologiques doit quand même s’inscrire en 1ère année de médecine vétérinaire. Il peut cependant demander certaines dispenses sur la base d’UE validées dans le cursus antérieur.
05/07/2022

Pour pouvoir exercer en France la profession d’infirmière avec un Bachelier belge d’infirmière en soins généraux, il convient de vous rapprocher de l’Ordre des infirmiers situé sur votre territoire régional.
Pour pouvoir exercer la profession de puéricultrice en France avec une spécialité en pédiatrie et néonatalogie attestée et validée en Belgique après un diplôme reconnu d’infirmier.ère,  il convient de vous rapprocher du service de la DREETS de votre Région attribuant les autorisations d’exercer.

Il y a des quotas fédéraux mis en place à la fin de la 6ème année qui prennent en compte les lignes budgétaires des hôpitaux et le nombre de places en stage + une procédure d’admission pour intégrer un master de spécialisation dans une seule université belge : lien
18/03/2022

Vous pouvez vous référer au rapport statistique de l’ARES sur cet examen : lien
17/03/2022

Sur une période de 5 années académiques, on ne peut présenter l’examen d’entrée que durant deux années académiques maximum. Les ECTS n’ont rien à voir à ce niveau. Ils sont à considérer pour vérifier la finançabilité pour pouvoir s’inscrire  ou poursuivre ses études dans l’enseignement supérieur belge.
16/03/2022

Il y a deux sortes d’études d’architecte en Belgique : Ingénieur civil-architecte et Architecte. Les premiers ont un socle de connaissance scientifique approfondi. L’admission dans le cursus d’Ingénieur civil architecte est sélectif (examen d’entrée). Ces études sont dispensées dans les universités : ULB, UCL, Liège, UMons.
Pour l’architecture d’intérieur et le design d’espace, on trouve majoritairement des cursus longs organisés jusqu’en Master dans des Écoles supérieures des Arts : Académie des Beaux-Arts (Bruxelles, Tournai), La Cambre, St Luc (Liège, Bruxelles), Arts2. Néanmoins St Luc Bruxelles et St Luc Tournai proposent des cursus courts. L’admission est toujours sélective. Consulter le tableau des ESA dans la rubrique « Etudier en Belgique », les études supérieures artistiques  05/10/2020

Jusqu’à présent, c’est le Ministère de la culture qui octroie aux étudiants français les bourses du secteur « arts et culture ». Normalement, il n’y a pas de bourses pour les étudiants en arts qui décident de se former hors de France (hormis ceux qui partent dans le cadre d’un accord d’échange avec leur établissement français). Vous pouvez cependant déposer une demande spécifique argumentée (fiche d’imposition à l’appui).

La première démarche est de contacter le service social de la Cambre afin de demander une diminution du Minerval (droits d’inscription).

Ensuite, il conviendrait de demander un financement exceptionnel à la DRAC toujours en argumentant la situation, documents à l’appui.

Certaines bourses comme la bourse« Declic » de la Fondation de France, pourraient être sollicitées.
Nous vous conseillons de faire une recherche sur le portail des Fondations pour trouver celles qui seraient le plus à même de répondre à votre projet d’études.
Contactez également les Collectivités territoriales dont vous et votre famille dépendez (la Mairie de la commune, le Département, la Région), ainsi que les organismes auxquels vous (ou votre famille) cotisez (Caisses mutualistes, Caisses de retraite et de retraite complémentaire, Comités d’entreprise, …).

Enfin, rapprochez-vous des organismes bancaires qui proposent des prêts étudiants à des taux compétitifs à rembourser à la fin des études.

En dehors de cela, il reste la possibilité de travailler à temps partiel  (voir les Centres InforJeunes en Belgique) ou de faire appel à des solutions comme l’habitat partagé (chambre chez une personne âgée en échange de petits services).

Il convient de procéder d’une part à une demande d’équivalence de votre Baccalauréat français en CESS belge (avant le 15 juillet impérativement), c’est obligatoire. Vous trouverez les détails en suivant ce lien.

• Pour la psychomotricité : l’inscription se fait directement auprès des Hautes écoles belges proposant ce cursus (sous réserve de place disponibles).
Tous les détails sont disponibles sur le lien suivant.

• Pour la logopédie : vous demandez un dossier auprès d’un établissement (un seul autorisé) et vous devrez le déposer complété fin août, en personne, pour qu’il puisse participer au tirage au sort (30% de dossiers autorisés parmi les non-résidents belges).
Tous les détails sont disponibles sur le lien suivant.

Vous pouvez être candidate pour les deux formations simultanément.
Toutefois, il faut entrer dans la catégorie des étudiants finançables pour déposer sa candidature

En Belgique francophone, on appelle “éducateur(trice) spécialisé(e) en accompagnement psychoéducatif” les éducateurs et on ne distingue pas la formation des éducateurs spécialisés et des éducateurs de jeunes enfants contrairement à la France.
Les inscriptions se font directement auprès des écoles après avoir demandé l’équivalence du Baccalauréat avant le 15 juillet. Vous retrouverez toutes les informations concernant les écoles, les procédures et les informations concernant l’exercice de la profession en consultant le lien suivant.

Les études de sage-femme sont décrites  sous  le lien suivant.

Il s’agit d’un cursus en 4 ans dont les deux premières années s’apparentent à un cursus en soins infirmiers puis une spécialisation les deux dernières années.
Pour s’inscrire, il faut procéder à la demande de reconnaissance du Baccalauréat français en équivalent belge.

Il n’y a pas de procédure par tirage au sort mais chaque école définit le moyen de s’inscrire, le dossier à constituer et la période précise pour le faire.
La participation aux journées portes ouvertes est fortement recommandée.

Le CROUS ne prend pas en compte ce type de bourse qui relève du domaine sanitaire.

Selon vos ressources ou celles de vos parents, vous pouvez peut-être prétendre à une réduction des frais de scolarité. Pour cela, il faut contacter le service social de l’école et vérifier le barème de revenu pour la réduction du « Minerval » (droits d’inscription). Sachez qu’il n’y a pas d’allocation logement en Belgique pour les étudiants et la CAF en France n’attribue pas d’allocation pour un logement loué en dehors du territoire national. Rapprochez-vous du Centre InforJeunes le plus proche en Belgique afin qu’on vous conseille sur les possibilités.

Côté français, la plupart des bourses du secteur sanitaire* et social** relèvent de la Région. C’est donc auprès de votre Région qu’il convient de s’enquérir d’abord de la règle appliquée pour l’octroi de ces bourses. Pour exemple, la Région Hauts-de-France n’attribue pas de bourses pour les étudiants de ces secteurs  qui vont se former en Belgique.  Sinon, interpelez également d’autres collectivités territoriales (Département, Commune) afin de présenter votre situation. Si vos parents travaillent dans des entreprises disposant de fonds d’aide sociaux, vous pouvez également les solliciter ainsi que les organismes complémentaires de santé, de retraite, de prévoyance auxquels ils sont éventuellement rattachés ou les comités d’entreprise, les organismes sociaux… Certaines institutions ou grandes entreprises accordent aussi des bourses d’étude ainsi que des fondations privées qui encouragent les projets ou les vocations. Enfin, il reste la possibilité de travailler de façon temporaire en dehors de cours (baby-sitting, extras en restauration, …) en évitant de dépasser 15h par semaine au risque de compromettre vos chances de réussite. Avant de travailler, vérifier bien la règlementation du travail dans le pays. Si besoin, vous pouvez faire le tour des organismes bancaires afin de solliciter un prêt étudiant en recherchant un taux concurrentiel.
Si votre situation sociale est délicate, rencontrez un assistant de service social (dans votre commune, votre circonscription ou au CROUS) pour trouver la solution la plus adéquate.

* Formations sanitaires dont les bourses sont rattachées à la Région : auxiliaire de puériculture, aide-soignant, infirmier, pédicure-podologue, masseur-kinésithérapeute, ergothérapeute, psychomotricien, sage-femme, ambulancier.
** Formations sociales dont les bourses sont rattachées aux Régions : assistant de service social, éducateur spécialisé, conseiller en économie sociale et familiale, éducateur de jeunes enfants, technicien de l’intervention sociale et familiale, moniteur éducateur.

Les formations en armurerie sont rares. Vous pouvez vous rapprocher du Centre d’études secondaire Léon Mignon de Liège.

Les Baccalauréats Technologiques sont typiquement français. Vous ne trouverez pas l’exact équivalent en Belgique. Cependant, si vous souhaitez poursuivre vos études à l’Université, c’est le service des équivalences de la fédération Wallonie Bruxelles qui attestera de l’équivalence de votre Bac comme permettant l’accès aux études supérieures. Pour plus d’informations sur le système d’équivalence consultez le lien suivant.

Le BTS est un diplôme français qui ne se prépare pas en Belgique. La formation qui correspondrait à celle de MMCM serait une formation en alternance dite « formation de chef d’entreprise » qui s’étendrait sur 1 à 3 ans. Il faut avoir une qualification préalable dans le secteur pour y accéder et être âgé de plus de 18 ans. A la fin, un diplôme de formation en chef d’entreprise est délivré, homologué et répondant aux exigences des lois d’accès à la profession en Belgique. Ce diplôme est reconnu par les Ministères compétents pour la formation et permet de s’installer dans la profession.

Voici le lien de présentation.

Vous trouverez en suivant ce lien  des informations sur les formations médicales en Europe.
La plupart des pays requièrent un enseignement préalable en sciences, mais le type de Baccalauréat n’est pas forcément précisé, c’est le cas pour la Belgique, sous réserve d’obtenir votre équivalence du Bac (votre diplôme de fin d’études secondaires mais aussi votre parcours et vos objectifs sont examinés). Il y a cependant dans ce pays, un examen d’entrée à réussir pour intégrer les études de médecine ainsi qu’une limitation des étudiants « non-résidents » à 30% de l’effectif total parmi ceux ayant le mieux réussi.
En France, il n’existe pas non plus de prérequis en terme d’études secondaires même si les chances de réussir lorsqu’on n’est pas issu d’un cursus scientifique sont minces.

Il convient de distinguer les professions d’Audiologiste (clinicien chargé de l’évaluation de la surdité) et d’Audioprothésiste (gestion de l’appareillage prothétique).
En Belgique, ces études sont décrites sur une page spécifique du site. Un seul établissement forme aux deux métiers conjointement.
Pour s’inscrire, il faut suivre la procédure décrite sous ce lien (reconnaissance du Baccalauréat en CESS + participation au tirage au sort fin août)

Il y a alors deux possibilités, la Suisse et la Belgique.
Pour la Suisse, vous devrez passer par une année de Modules Complémentaires Santé (environ 16482 CHF) pour pouvoir vous présenter ensuite aux épreuves de régulation, soit une forme de concours, pour entrer en HES (Haute École de Santé). Voir le lien suivant.
Pour la Belgique, vous trouverez toutes les informations utiles sur notre site.
Il faudra que vous demandiez une équivalence du Baccalauréat avant le 15 juillet et que vous contactiez directement les écoles qui vous intéressent (voir le lien suivant). Il faut savoir que c’est bien chaque école qui effectue sa propre sélection, avec des dates qui peuvent être variables. Certaines écoles recrutent par ordre d’arrivée, alors que d’autres sélectionnent les candidats en leur faisant passer des entretiens en mai par exemple.

Attention, la mise en place de « passerelles » entre filières d’études n’est plus aussi lisible depuis la réforme de l’enseignement supérieur. Ce sont les établissements qui vont examiner votre demande d’intégration au regard des « attendus » et des « pré-requis » fixés.

Les deux diplômes, le Brevet ainsi que le Bachelier vous permettent actuellement d’exercer en France. Cependant, il est possible d’accéder à la formation menant au Brevet sans le Bac (ou CESS en Belgique). Le Brevet a certains points communs avec la formation d’aide-soignant en France mais il est plus approfondi et forme à certaines tâches de soins.
Même si les deux formations répondent aux Directives de la Communauté Européenne (donnant alors accès à la profession d’infirmier de soins généraux dans les États membres et notamment en France), le Bachelier, comparable aux études d’infirmier en France, permet une évolution de carrière plus favorable que le Brevet. Lui seul donne accès aux spécialisations.

Malheureusement non, en tant que non résidente, il vous faudra forcément passer par le tirage au sort pour accéder au 1er cycle d’études en Masso-kinésithérapie en Belgique, que ce soit en Haute école ou à l’Université. Il n’y a pas de tirage au sort pour l’accès au 2ème cycle mais il faut avoir validé le diplôme de 1er cycle pour s’y inscrire. En septembre, il est encore possible de s’inscrire en Sciences de la motricité à l’Université en Belgique mais hors de l’option kiné de ce cursus.
Nous vous renvoyons à la page« Euroguidance » dédiée.

En tant que Française, vous entrez dans le même cadre légal qu’un ressortissant Belge. Dans la plupart des cas, les stages ne sont pas rémunérés. Toutefois, certaines entreprises remboursent les frais de transport (l’abonnement de l’autobus ou du train) ou offrent des repas gratuits ou à prix réduits aux étudiants. Ces avantages sont à négocier par l’étudiant stagiaire. Si l’étudiant reçoit une rémunération, il reçoit des documents à signer et l’entreprise doit déclarer le montant payé à l’étudiant.